
Google Parie sur la Fusion : Achat d'Énergie auprès de Commonwealth Fusion Systems
Salut les passionnés de technologie ! J'ai des nouvelles passionnantes concernant l'avenir de l'énergie qui, je pense, vous passionneront. Google fait un pas audacieux vers l'énergie de fusion, et cela pourrait changer la donne.
Essentiellement, Google mise gros sur l'énergie de fusion en acceptant d'acheter 200 mégawatts d'électricité à la première centrale électrique commerciale de Commonwealth Fusion Systems (CFS), appelée Arc. Considérez cela comme une précommande du gadget le plus avancé qui soit, mais au lieu d'un téléphone, c'est de l'énergie propre et durable ! Cette centrale devrait être mise en service au début des années 2030. De plus, Google n'achète pas seulement de l'électricité ; ils investissent également dans CFS. Cet investissement devrait permettre à CFS d'accélérer ses efforts de R&D.
Maintenant, vous vous demandez peut-être : "Pourquoi la fusion ?" Eh bien, il s'agit de répondre à la demande sans cesse croissante en énergie, en particulier avec l'essor des centres de données et de l'IA. La demande en énergie des centres de données devrait doubler d'ici la fin de la décennie, c'est pourquoi Google recherche de nouvelles sources d'électricité dans le monde entier. Comme l'a dit Michael Terrell, responsable de l'énergie avancée chez Google, ils doivent faire de gros paris sur cette nouvelle frontière de l'innovation énergétique.
Google considère ses investissements énergétiques sur différents horizons temporels. Ils se concentrent sur l'éolien, le solaire et les batteries à court terme. Plus loin, ils envisagent la géothermie et les petits réacteurs nucléaires modulaires. Et encore plus loin se trouve l'énergie de fusion, qu'ils considèrent comme un jeu à long terme. Il est vraiment intéressant de voir comment l'entreprise répartit ses investissements dans tous les domaines.
Considérez ceci : l'éolien et le solaire sont excellents, mais ils ne sont pas toujours fiables. Ils dépendent de la météo et de la géographie. La fusion, cependant, pourrait potentiellement fonctionner 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, quels que soient l'emplacement ou les conditions météorologiques. Le PDG de CFS, Bob Mumgaard, estime qu'une fois que la première centrale de fusion sera opérationnelle, elle pourra être étendue et construite dans le monde entier.
Cette initiative ne vise pas seulement à permettre à Google d'obtenir une énergie plus propre ; il s'agit de réduire le coût global de la réalisation de fortes pénétrations d'énergie sans carbone. Même si la fusion est plus chère par mégawattheure au départ, elle pourrait réduire les coûts globaux du portefeuille à long terme.
Source: TechCrunch